WELCOME TO KILLIGTON BABY
Eleonor B. O'Conor
Nombres de devoirs rendus : 71 Ton arrivée : 25/07/2011 Age : 30
| Sujet: Eleonor B. Conor ~ Petite folle au coeur d'or Mar 26 Juil - 0:39 | |
| (c) Copyright Eleonor B. O'Conor
Sophia Bush
Age : 22 ans Date de naissance : 5 mai Nationalité : Anglaise Études : Design Situation : Célibataire
« ~ Vous avez demandé une personnalité débordante ?
Pffft, faut encore parler de moi ? Mais enfin, je vais prendre la grosse tête à force. Bon alors je vais commencer par un des plus gros trait de mon caractère : la persévérance, j'ai appris qu'il ne fallait jamais abandonné ses idées, ses rêves et les buts que l'on s'étaient fixés. L'échec sert à se relever, que ce soit en amour ou en cours par exemple, il ne faut jamais baisser les bras. Deuxièmement je dirais que ma gentillesse soit l'une des principales qualité que j'ai développé en arrivant ici, à New-York. Pour continuer dans les qualités, je suis assez sociable et me fait beaucoup d'amis ou de petites aventures. Ensuite, je dirais que j'aide mes amies et que je sais les choisir. Lorsqu'il y a une faux cul dans le lot, je peux devenir très méchante et elle comprendra désormais qu'elle n'est plus la bienvenue. Sinon je suis aussi jalouse et possessive, je ne suis pas étouffante mais j'aime quand les gens que j'aime sont là pour moi car je suis toujours là pour eux aussi. Je ne suis pas une garce qui se prends la tête parce que son maquillage coule ou que ses cheveux sont en pétards, je ne suis pas non plus une barrakie qui n'en a rien à faire de son look, personnellement j'adore faire du shopping avec des amies et j'aime me sentir jolie dans ce que je porte. Je suis différente des autres, tout le monde est différent même si on entre dans une norme définie par la mode (pas trop grand, ni trop petit, pas trop maigre ni trop gros, pas trop belle ni trop moche juste comme il faut et il y a intérêt à être dans la norme sinon la personne ne sera pas acceptée). Voilà, je pense que j'ai finit de parler de moi ! Enfin j'espère car je déteste ça , voilà encore un trait de mon caractère.»
« Vous voulez une histoire, une belle histoire ou la mienne ? Certainement la mienne vu qu'on parle de se présenter, alors je commencerais par me présenter avec nom et prénom : Bonjour, je m'appelle Eleonor B. O'conor, j'ai 23 ans et je suis chanteuse. Enfin, je veux dire que je chante chez moi dans mon appart, je chante pour soulager ma peine, non, plutôt mes nombreuses peines et je peux vous dire que cela fait du bien mais que cela ne guérit pas la douleur qui trône au fond de mon cœur. De même que la cigarette et l'alcool que je consomme en trop grande quantité, évidemment mais cela me permet de m'évader. C'est une drogue, un peu comme la vie, comme la peur aussi et le bonheur pour terminer. Je vais certainement devoir déballer ma vie en public donc allons y maintenant, plus vite c'est commencé plus vite c'est terminé... Un peu comme tout, bon allez je me lance. Je n'ai pas eut l'enfance facile, je veux pas dire que j'étais pauvre très loin de là. Mes parents travaillaient tout les deux, mon père était directeur d'une grande entreprise et ma mère était vendeuse dans un grand magasin de Houston. En parlant de ma mère, c'est elle qui m'a donné le goût de la musique : elle était pianiste, l'une des meilleures à mes yeux. Je pense que c'était la meilleure des mamans du monde, elle m'apportait tout ce dont j'avais besoin sans en faire des tonnes, elle était là pour moi, disponible ... Ce n'est pas comme mon père, il partait parfois des mois entiers à l'étranger et nous laissaient seules maman et moi. Lorsqu'il revenait, nous étions toutes les deux recouvertes de cadeaux et de bijoux mais le plus beau cadeau qu'il aurait put nous faire c'est d'être là, il me manquait souvent et maman pleurait son absence aussi. Un jour, maman n'est pas rentrée ... Un alcoolique l'avait renversée alors qu'elle allait chercher des croustillons pour moi, je les lui avait demandé la veille, c'est un peu de ma faute si elle est morte au fond, ... Et je m'en veux, un peu plus chaque jour. L'image de ma mère me hante, ma si douce maman, mon modèle .... Papa est revenu, il était à Hong-Kong et semblait être plus triste de ne pas avoir su conclure son affaire avec les japonnais que pour le décès de maman. Après quelques heures il m'avait trouvé un internat qui me conviendrait comme il m'avait dit. Après quelques jours, l'enterrement de maman terminé, la famille retournée chez elle , mon père m'a déposée sur les marches de l'internat. Le pire passage de toute ma vie, j'avais 8 ans et orpheline d'une mère. L'internat, des marches glacées et une immense porte marron. Voilà ce qui m'attendais : rester enfermée dans cet immense bâtisse. Père m'a amené jusque dans le bureau de la directrice, il a payé un acompte pour 2 ans et ils m'ont tout deux conduit jusqu'à ma chambre, elle était froide et sombre comme tout le reste de cette maison, je me souviens m'être attaché à la jambe de mon père et pleuré beaucoup. Il m'a tirée de cette position et s'est agenouillé devant moi, puis m'a dit : « Tu es une petite fille forte, je compte sur toi pour me le prouver ». Si j'avais sut que c'était la dernière fois que je voyais mon père, je n'y aurais pas crut. Voilà la seconde méchante image tenace qui me colle au corps.
Le temps passe, je suis âgée de 14 ans et père n'est toujours pas venu me voir, j'étais effrayée. Les filles d'ici, étaient méchantes elles aimaient me faire des blagues méchantes comme brûler ma poupée, coller du chewing-gum dans mes cheveux ou les tremper dans des pots d'encres. Je souffrais terriblement et la directrice ne disait rien, il n'y avait qu'une nurse et elle était grosse et ne faisait attention qu'aux petits gâteaux qui cuisaient dans les fours de la cuisine. Au fur et à mesure des années, je me suis renfermée encore et encore sur moi même, j'ai appris qu'il fallait répondre par la méchanceté et j'ai fais subir aux cadettes ce que l'on m'avait fait subir. Ce n'est pas très morale, mais c'était soulageant. Plus personne n'osait m'approcher et ma méchanceté était de plus en plus pointilleuse, je savais comment faire pour marchander avec la nurse (et oui, quand je vous dit que ce n'était qu'une grosse bouffe) mais j'avais toujours aussi mal.
A l'âge de 19 ans, j'ai décidé de partir de cet internat maudit et de vivre ma propre vie. Père m'avait laissé des économies et faisait le plein de mon compte en banque quand il le fallait, il n'était pas mort mais ce n'étais plus mon père c'était mon capital d'argent et rien d'autre. Je savais ne plus m'attacher et c'était mieux ainsi. S'attacher c'est aimer souffrir.
Voilà comment je suis arrivée ici, à New York. J'ai beaucoup muri depuis l'enfance, j'ai appris à faire face et je me suis trouvée une place dans cette immense ville. J'habite une petite villa, bien éclairée et j'y vis seule pour l'instant en tout cas. J'ai des amies et j'aimerais me trouver un petit ami qui pourra me faire goûter aux plaisirs de l'amour.
Voilà, j'ai terminé mon histoire, j'espère qu'elle vous a plue. Et madame là bas, rangez vos kleenex je déteste la pitié. Et sinon à vous tous, je vous donne rendez-vous dans un endroit de cette immense ville. XOXO mes chéris ! » .
Pseudo : Laurence Age : 17 ans et demi Comment à tu connu le forum : Non mais vous rigolez ? Comment le trouves-tu ? : Je suis l'une des 3 fondatrices/administratrice alors on peut dire que je l'aime par dessus tout ! Fréquence de connexion : Tout le temps Exemple de RP : - Spoiler:
Si le sommeil ne veut pas venir, personne ne peut arriver à le forcer. C'est clair que l'on pourrait l'aider en avalant des cachets de somnifères mais ce serait comme un peu droguer son corps pour l'obliger à se reposer. Une jeune demoiselle en faisait encore l'expèrience cette nuit, il devait être 2heures et demi du matin ou un peu moins. Miss O'Conor devait être couché depuis les alentours de 9heure et demi maximum 10 heures. Le sommeil n'arrivait pas, le marchand de sable n'avait pas fait son travail auprés de la jeune fille. Pourtant la jolie Eleonor était morte de fatigue, mais pas moyen de fermer les yeux et de se sentir calme et apaisée. Quelque chose lui trottait dans la tête, enfin c'était une image qui ne sortait jamais de son esprit mais aujourd'hui elle était encore plus angoissante. Pourquoi aujourd'hui ? Et bien simplement parce que c'était la date d'anniversaire du décès de sa propre mère. La jeune demoiselle se sentait couable, encore aprés tant d'années, de la mort de cette si douce maman qui était son modèle de vie. L'image qui lui trottait en-tête était celle ou sa mère lui promettait de ramener des croustillons à sa petite chérie... Les larmes coulaient, de plus en plus rapidement sur les joues de Léo. Elle ne pouvait les retenir, sinon elle serait morte étouffée de la boule d'oppression qui était coincée dans sa gorge.
La jeune fille se releva de son lit, plus la peine d'essayer de s'endormir elle savait que c'était peine perdue. Léo remi son lit en place et se dirigea vers le salon, elle alluma sa télévision sur une chaîne Disney ou les dessins animés passaient en boucle jusqu'environ 8heure et demi du matin. Il est vrai que ses images colorées et mal dessinées la faisait sourire lorsqu'elle avait un coup de blues. Elle attrapa un coussin et une couette et se positionna dans son fauteuil. La nuit passa sans qu'elle puisse fermer l'oeil mais cela passait quand même et c'était tant mieux pour la jeune fille.
Vers 7heure et demi du matin, elle coupa son post et se dirigea vers la cuisine. Elle s'y prépara deux toast et du chocolat chaud tout en se demandant ce qu'elle allait pouvoir faire aujourd'hui. Léo ne voulait pas être entouré de plein de gens, elle aurait aimé à ce moment avoir un amoureux qui puisse lui faire changer les idées mais ce n'était pas le cas pour le moment et elle ne s'attendait pas à ce que le prince charmant arrive sur son cheval blanc en claquant des doigts. La patience était l'une des meilleures qualités de la vie.
Miss O'Conor s'était décidée, elle se dirigea vers la salle de bain et sorti de la douche une cinquantaine de minute après y être entrée. Elle adorait la chaleur de l'eau sur sa peau fraîche et n'hésitait pas à rester sous sa douche le temps qu'il fallait pour se sentir bien, parfois même mieux qu'avant d'y être entrée, comme aujourd'hui. En sortant, Eleonor laissa ses cheveux pendre et enfila une robe noire large dans le bas et des bottes grises. Elle attrapa son sac et fila vers la voiture, un magnifique 4x4 noir encore un cadeau de son père. Léo alluma la musique à fond et se mis à chanter en direction de l'autoroute, elle voulait s'évader et rouler était un bon moyen.
Voilà qu'elle roulait depuis un bon moment et tout à coup la voiture se mis à ralentir, lepot était à sec. Elle sortit de son 4x4 et cria un :
_ M*rde, c'est de la chance à pas de chance aujourd'hui ou quoi ? Le monde a décidé de me faire ch*er ?
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